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Selon une étude britannique, 1 jeunes sur 8 seraient encore vierge à l’âge de 26 ans. En effet, de plus en plus d’adolescents passent à l’acte en étant très jeunes. Cela s’explique par nombreux faits notamment l’évolution des mentalités dans notre société. Alors, de nos jours, à quel âge les jeunes perdent-ils leur virginité ?
17 ans, l’acte moyen de la perte de la virginité
En effet, l’âge de moyen de la perte de la virginité est de 17 ans chez les adolescents. Un chiffre nettement en baisse chez les jeunes filles ces clinquantes dernières années, qui se rapprochent d’ailleurs de celui des garçons qui est de 17,2 ans. Un chiffre en baisse car au début des années 60, les garçons avaient leur premier rapport sexuel à 18 ans et demi tant dis que les jeunes filles l’avaient à 20 ans.
La perte de la virginité, un miroir de la société
La perte de la virginité est à l’image de notre société moderne. En effet, la perte de la virginité était une notion étroitement lié au mariage. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Avec l’émancipation des femmes, la révolution des mœurs, la scolarisation des femmes et leur entrée dans le monde du travail, la notion du mariage a été déconnectée des cerveaux des adolescents. Rendant ce dernier tardif et accentuant ainsi la pression sociale liée à la perte de la virginité.
Des contextes divers en fonction du continent
Tant dis qu’en Afrique Subsaharienne, la perte de la virginité est encouragé chez les jeunes filles dès le début de la puberté par le biais du mariage, en Amérique Latine, c’est celle des garçons qui est encouragé afin de prouver leur virilité. En Europe par contre les filles et les garçons perdraient leurs virginités à peu près à la même période. Toutefois, le dernier modèle est celui qui tend à se standardisé et marque une seconde fois, l’évolution de la société et des mentalités.